Justice pour Louie Sam

Ce livre faisait donc partie de ma liste de livre imposée pour le prix littéraire (mon article à ce sujet ici).

9782364745087

Auteur : Elizabeth Stewart.

Éditions : Thierry Magnier (romans adolescents).

Genre : jeunesse, historique.

Nombre de page : 320.

Synopsis :

Fin du XIXe siècle, paysage aride du nord des États–Unis.
Un matin en allant à l’école, les enfants Gillies découvrent dans une maison en feu, le corps sans vie de leur voisin. Sans enquête, le coupable est aussitôt désigné : Louie Sam, un jeune Indien, qui a été vu dans les parages.
Dans cette cité de colons, situé à la frontière entre les États-Unis et le Canada, les relations avec les Indiens natifs sont encore difficiles. Les communautés ne se mélangent pas.
Les hommes du village décident de rendre justice eux mêmes. Ils organisent une chasse à l’homme pour capturer l’adolescent.
Mais George, l’aîné des Gillies comprend vite que la vérité n’est pas aussi simple, des incohérences sont très vite mises à jour et il décide de mener sa propre enquête. George, du haut de ses quinze ans, pose des questions, trop de questions. Pourtant si Louie Sam n’est pas coupable, qui l’est ? Et dans cette société si fermée, à qui profite le crime ?

Mon avis :

Une bonne lecture qui nous fait voyager à travers le temps et à travers l’histoire. Cette histoire est inspiré de faits réels, elle est donc encore plus touchante et bouleversante. Je ne suis pas fan de la plume de l’auteur, mais les émotions sont au rendez-vous donc c’est ce qui compte. C’est une traversé de l’Amérique qui nous permet de faire la rencontre de personnages historiques, humains et attachants. C’est une histoire qui nous permet aussi d’être plonger dans une époque raciste, ou les différences entre indiens et colons étaient plus que présentes. C’est une belle histoire, avec au fond une belle morale.

Merci,

Clara.

Zouck

Gardez-vous des chemins sombres.

zouck

Auteur : Pierre Bottero.

Éditions : Flammarion, Tribal.

Genre : jeunesse.

Nombre de page : 154.

Synopsis :

 » La musique était une onde qui me portait. Toujours plus haut. Je me sentais légère, presque éthérée. J’avais la sensation que mes gestes pouvaient s’affiner jusqu’à devenir parfait.  »
Anouck, dite Zouck, a une passion : la danse. Qu’elle partage avec sa meilleure amie : Maiwenn. Jusqu’au jour où elle s’éloigne l’une de l’autre. Zouck, obsédée par l’idée de perdre quelques kilos superflus, se coupe du monde. De son côté, Maiwenn, follement amoureuse, devient de plus en plus distante

Mon avis :

Un merveilleux roman, écrit par un auteur que je découvre aujourd’hui, non sans en avoir entendu parlé par auparavant. La plume de Pierre Bottero est absolument magnifique, fine, compréhensible, à la porté de tout le monde mais à la fois subtile et délicate. J’adore l’histoire, les personnages, les thèmes, la fin, en bref j’adore ce roman et je commence déjà a adoré cet auteur. On est donc dans le peau d’Anouk, appelé Zouck par ses amis, une jeune danseuse qui la danse est absolument tout pour elle. Un jour, elle décide qu’elle est trop grosse pour danser, et que de ce fait, elle doit maigrir. C’est fou, dingue, scandaleux qu’un homme, un auteur, arrive à se mettre dans le tête d’une jeune fille, à comprendre ses complexes, ce qui pousse une jeune fille à maigrir, sa passion sur de la danse, elle. Merci à cet auteur pour cet incroyable talent, pour cet imagination, pour ces personnages humains, pour ces belles valeurs.

J’adore, je vous les répète et encore une fois, je vous répète que ces un livre que vous devez lire.

Cela me conforte donc dans l’idée de lire d’autres romans de Pierre Bottero, sérieusement !

Merci,

Clara.

Douze ans, sept mois et onze jours

Ce livre faisait donc partie de ma liste de livre imposée pour le prix littéraire (mon article à ce sujet ici).

Papa te protège pour mieux t’abandonner, mon enfant.

Douze ans

Auteur : Lorris Murail.

Éditions : Pocket.

Genre : jeunesse.

Nombre de page : 304.

Synopsis :

Une cabane perdue dans les forêts du Maine. C’est là que Walden est abandonné par son père. À partir de maintenant, le garçon va devoir se débrouiller pour survivre dans les bois. Avec pour seule richesse quelques boîtes de conserve, un livre de Thoreau et une carabine. À la fin de chaque journée, Walden note son âge sur une écorce de rondin. Douze ans, sept mois et quatre jours, au moment ou commence son apprentissage pour le moins étrange…

Mon avis :

Une lecture ennuyeuse, que j’aurais abandonne des le départ si je n’étais pas obligée de continuer. Pour moi ce roman n’a pas de sens, pas que l’écriture soit mauvaise ou que les personnages soit détestable, non ! Il n’a juste aucun sens. On nous dit que Walden, le petit garçon de douze ans (je le rappelle) qui est abandonné par son père dans une forêt et très peureux, mais au court du roman, notre petit bout de chou va se balader seul en forêt, se rendre dans des lieux… bref, je ne vais pas trop en dire, mais la description du garçon ne colle pas du tout avec les actions du personnages. Puis qu’on se le dise, un petit garçon de douze ans, laissé seul en forêt panique un peu, lui non, il attend juste son père… Puis par le suite l’histoire vire dans des extrêmes…

Pour moi ce sera donc une grosse déception, vu que j’en attendais pas mal de ce roman pour le prix.

Merci,

Clara.

Petite paranthèse : En ce moment j’ai un peu de mal à lire, je suis désolée si il n’y a pas beaucoup d’articles mais je fais une sorte de panne de lecture…  

Tout cela n’a rien n’avoir avec moi

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Auteur : Monica Sabolo.

Éditions : Pocket.

Genre : contemporaine.

Nombre de page : 153.

Synopsis :

Tout cela n’a rien à voir avec moi décortique un chagrin d’amour, selon une méthode relevant de la fantaisie, de la poésie et de la science. Il se présente comme un traité académique, dont l’auteur serait à la fois le sujet et l’objet (dispositif qui révèle ses limites, ne nous le cachons pas). Alternant observations cliniques et textes lyriques, photos et correspondance, ce roman-collage est à la fois une enquête de police (les objets du quotidien sont présentés comme de pièces à conviction) et une fiction, drôle, folle, déchirante. C’est aussi le témoignage d’une obsession, le récit d’un gouffre qui se dévoile. Doucement une réalité archaïque affleure, et l’auteur glisse, comme malgré elle, vers une autre blessure pour remonter doucement vers les racines du mal. Que nous transmettent nos parents ? Leurs chagrins s’impriment-ils dans nos cellules comme une mémoire fatale ? Sommes-nous voués à revivre, encore et encore, des émotions encodées dans une région fossile de notre cerveau ? Un texte aussi gracieux que bouleversant qui inaugure peut-être un nouveau genre romanesque.

Mon avis :

J’ai beaucoup de mal à parler de ce livre et à dire si oui, ou non il m’a plût. Je dirais non au premier abord car je pense ne pas avoir compris le sens de ce roman. Peut-être que je n’ai pas assez de maturité ou que cette histoire ne pouvait tout simplement pas me toucher ? Je ne sais d’ailleurs pas si on peut parler d’une histoire… Ce livre c’est une sorte de  »dissection » de l’amour, d’une analyse des sentiments. Souvent je me suis demandée pourquoi l’auteur écrivait ça à ce moment là et pourquoi il l’écrivait tout simplement. Parfois j’ai compris le message de l’auteur mais souvent ça n’a pas été le cas… Je ne saurais donc quoi dire de ce roman si ce n’est qu’il n’y a pas assez de choses dans ce livre pour le rendre attrayant.

Si vous l’avez lu, commentez.

Merci,

Clara

Les géants

Ce livre faisait donc partie de ma liste de livre imposée pour le prix littéraire (mon article à ce sujet ici).
 .
Il respira, lentement, chercha à retrouver sa sérénité habituelle, ressac régulier de sentiments positifs. Ne plus agir en écoutant ses poings – sinon, il trahissait toutes les promesses faites à l’adulte qu’il voulait devenir.

Les géants

Auteur : Benoît Minville.

Éditions : Sarbacane (Exprim’).

Genre : contemporaine, jeunesse.

Nombre de page : 288.

Synopsis :

Ça se passe sur la Côte Basque.
Les Géants, ce sont eux : Marius, le fils, surfeur, son besoin
d’ailleurs. Auguste, le père, marin pêcheur, cramponné à
la vie qu’il s’acharne à offrir à ses enfants. La soeur, Alma,
qui veut exister dans cette famille patriarcale…
… et qui cache à tous son idylle avec Estéban, ami d’enfance
de Marius ; sa famille à lui s’accroche dans un mobilhome
à l’année. Et d’un père à l’autre, d’un fils à l’autre,
les deux clans se serrent les coudes.
Tous là, unis dans cette région brute, irréductibles.
Soudain, la vague arrive. César, le grand-père de Marius,
revient d’entre les morts ; et avec lui, de lourds secrets couvés
comme un trésor de guerre…

Mon avis :

Un bon roman que j’ai pris plaisir à lire. Ce n’est ni le roman du siècle, ni le roman parfait mais c’est une lecture agréable. Pour moi il y un gros problème dans ce livre c’est l’intrigue, il n’y en a pas, les soi-disants secrets de famille nous sont révélés dès les premiers chapitres. Pour ma part c’est les personnages qui m’ont fait aimer ce livre, ils sont tous bourré de défauts, de qualités, de rêves, de secrets. Ce livre a beaucoup de voix, une pour chacune des membres des deux familles. C’est un roman sur l’amour, la famille, les amis, la colère, les rêves… C’est frais, ça se passe sur la côte basque, ça parle de surf, de filles, de voyage, de ‘secrets’ et surtout des liens familiaux. Le vocabulaire employé par l’auteur accentue cet effet du réel, on est avec des jeunes, avec des ouvriers dans un milieu social compliqué. Je vous conseille cette lecture sans non plus vous certifier que vous en sortirez conquit. Essayez !

Merci de m’avoir lu,

Clara.

TAG : LIBESTER AWARD

Hey !

Première pour moi, je remercie Bazar de mes lectures pour cette nomination, c’est avec plaisir que je fais ce tag.

Le PRINCIPE DE CE TAG:
Après avoir écrit 11 petites choses sur soi et répondu à 11 questions du blog nous ayant nominé. On nomine à son tour 11 blogs en leur posant 11 questions, sans oublier de poster les liens et de les en informer. Et quand tout est fini, on fait un rapport à son nominateur et la mission est accomplie, voilà.

ONZE CHOSES SUR MOI..

  • Je suis en seconde.
  • Je pense faire L l’année prochaine, ou passer l’année dans ma chambre à lire, j’hésite encore…
  • J’écoute des enregistrements de pluie pour dormir.
  • 6 years est pour moi un des plus beaux films d’amour.
  • Je ne crois pas à l’amour, surtout à mon âge.
  • J’adore le sirop d’érable, un peu trop je crois.
  • Un de mes rêves serait d’écrire un livre.
  • Un autre serait de faire le tour du monde.
  • Je songe à faire une mission humanitaire.
  • Peut-être que je ferais une chaîne YouTube, qui sait ?
  • Je suis aussi une fille à séries.

LES QUESTIONS POSÉES PAR BAZAR DE MES LECTURES:

Pourquoi un blog ?

L’envie de partager mes lectures avec vous, une partie de moi en quelque sorte. L’envie aussi de donner à certains l’envie de lire un livre, ou de lire tout court. Un besoin de création. Enfin pas mal de choses…

 
Pourquoi avoir choisi ce nom de blog ?

Sur le moment, comme ça : À MORTS DÉCOUVERTS, puis parce que je trouvais que ça sonnait bien.

 
Comment te vois tu d’ici 5 ans ou 10 ans ?

Dur de répondre à ça… Comment je me vois dans 5 à 10 ans.. ? Heureuse. Je l’espère en tout cas. Toujours avec ma familles, mes amis, puis avec mes livres au quotidien, à cheval le week-end, sous ma couette les jours de pluies. Peut-être professeur des écoles, peut-être journaliste, peut-être en voyage autour du monde, ou encore libraire ? Dur de répondre à cette question.

 
Quel est ton thé/café préféré pour accompagner tes lectures / films ?

Je suis beaucoup trop maladroite pour lire avec une boisson (Qui es-tu Alaska ? en a d’ailleurs fait les frais…). Mais sinon au quotidien c’est pour moi thé, pomme/cannelle ou rose/litchi, ou alors un bon chocolat chaud.

 

Quel est ta philosophie de la vie ?

Faire ce qui me plait, dans la mesure du possible.

 

As tu un animal de compagnie (race/âge) ?

Un tas ! Gribouille et Gaïa, deux jolies petites cockers anglaises de 4 ans, Higo un schnauzer géant de 3 ans et demie et Orlando et Pluton, deux chevaux de 13 et 7 ans.

 

Quelle a été ta dernière grosse surprise littéraire des dernières années ?

Découvrir que passer des journées à lire c’était possible, tout simplement. Sinon pas mal de choses, puisque ça ne fait que 2 ans que je lis vraiment.

 

Quel est ton dernier achat ? (peu importe le thème)

4 merveilleux romans chez un bouquiniste près de chez moi pour 8 euros, ça fait vraiment plaisir.. Et sinon un muffin au chocolat à midi.

 

Ouvre ton livre actuel sur une page et pourrais tu nous citer une phrase au hasard.

Je viens il y a quelques instants de finir mon livre… Donc pas de phrases au hasard pour moi.

 

Si je te demande de lire un livre avec une couverture dans les tons jaune : est ce que tu es prêt à relever le défi ?

Jaune comment ? Poussin j’espère… Mais sinon oui, toujours prête !

 

Pourrais tu nous raconter un instant de bonheur que tu as eu ces dernières semaines ?

Manger un muffin fondant à midi ou bien entrer chez un bouquiniste et être enveloppé par l’odeur des vieux livres, J’A-D-O-R-E !

LES ONZE QUESTIONS QUE JE POSE :

  • Un livre qui t’as bouleversé ?
  • Ton rêve de lecteur/lectrice ?
  • Quelque chose dont tu ne te lasseras jamais ?
  • Une musique à conseiller ?
  • Comment te vois-tu dans 5 ans ?
  • Une citation à faire partager ?
  • Comment c’est passé ta journée ?
  • Décris toi en trois mots.
  • Si tu devais écrire un livre, de quoi parlerai-tu ?
  • Ta saison favorite ?
  • Plutôt couche tard ou couche tôt ?

Voilà, il ne me reste qu’à taguer onze personnes que voici, à vous de jouer:

Et voilà, je ne sais pas qui taguer d’autres, mais j’encourage toute personnes à faire ce tag en reprenant mes questions. Pour ceux tagués, à vos claviers !

Insaisissable, tome 1 : Ne me touche pas

Il y a des secrets partout. Il n’y a de réponse nulles part.

Ne me touche pas

Auteur : Tahereh Mafi.

Éditions : Michel Lafon.

Genre : jeunesse, science-fiction, romance.

Nombre de pages : 381.

Synopsis :

“Ne me touche pas” je lui murmure. Je mens mais ne lui dis pas. J’aimerai qu’il me touche mais ne lui dirais jamais. Des choses arrivent quand on me touche. Des choses étranges. De mauvaises choses. Des choses mortelles.
Juliette est enfermée depuis 264 jours dans une forteresse pour un accident. Un crime. 264 jours sans parler ni toucher personne. Jusqu’au moment où un gardien vient partager sa cellule. Derrière sa nouvelle apparence, elle le reconnaît : c’est Adam, celui qu’elle aime en secret depuis toujours.

Mon avis :

Je dois dire que j’ai beaucoup hésité à me lancer dans cette lecture, effectivement, la quatrième de couverture ne me tentait mais alors pas du tout… Puis une bonne amie m’en a parlé et j’ai décidé de laisser sa chance à ce roman, j’ai bien fait. Effectivement, ce roman est très bien écrit, d’une manière très particulière mais surtout très poétique et un peu confuse, comme Juliette. Le fait que Adam soit en gros, la première personne à pouvoir toucher Juliette crée de suite un lien entre les deux personnages. Les scènes romantiques n’en finissent plus, je trouve ça beau mais quelques fois lassant. En tant que grande pessimiste de l’amour, je trouve que c’est trop, comme souvent avec ce genre de livres, les « tu es la femme de ma vie » et compagnie sont donc présents dans ce livre. En plus de ça, j’ai un peu de mal à cerner Juliette, elle fait parfois preuve d’énormément de caractère pour ensuite ne rien dire et pleurer une ligne après… Malgré ça, le côté dystopique est très intéressant car justement l’auteur n’en fait pas trop, je trouve que la fin est très entraînante c’est pourquoi je compte lire le tome 2.

En bref, j’ai donc bien aimé ce roman, je le conseille aux lecteurs qui aiment bien les histoires un peu dystopique mais surtout romantique. Pour ma part, j’ai passé une bonne lecture mais sans plus, je n’ai pas eu un coup de coeur mais ça reste un bon roman.

Merci à vous,

Clara

Eleanor & Park

Et quand Eleanor souriait, quelque chose se brisait à l’intérieur de lui. À chaque fois.

 Eleanor&Park

Auteur : Rainbow Rowell.

Éditions : Pocket.

Genre : contemporaine, romance.

Nombre de pages : 378.

Synopsis :

1986. Lorsque Eleanor, nouvelle au lycée, trop rousse, trop ronde, s’installe à côté de lui dans le bus scolaire, Park, garçon solitaire et secret, l’ignore poliment. Pourtant, peu à peu, les deux lycéens se rapprochent, liés par leur amour des comics et des Smiths… Et qu’importe si tout le monde au lycée harcèle Eleanor et si sa vie chez elle est un véritable enfer, Park est prêt à tout pour la sortir de là.

Mon avis :

Eleanor & Park est selon moi un des plus beaux romans qu’il m’est été donné de lire. J’avais peur en commençant ma lecture, que je sois déçue car j’en attendais beaucoup de ce roman après tout les éloges que j’avais pût lire, je ne l’ai pas été mais alors PAS. DU. TOUT. Ce que j’ai aimé par dessus-tout, c’est le fait que cette histoire soit crédible (malheureusement pas comme la plupart des romances), ce livre ne cherche pas à faire rêver je trouve, il raconte juste l’histoire d’amour entre un garçon et une fille, comme vous et moi, enfin presque. Park est le genre de garçon qui au premier abord peu paraître banal, un peu trop timide, un peu trop coincé et Eleanor est le genre de fille qui paraît vraiment décalée, un peu trop ronde, un peu trop rousse, un peu trop, tout. Mais plus on avance dans le livre, plus les personnages se livrent et plus l’auteur démontre que personne n’est banal, que personne n’est insignifiant. Voilà, ce livre c’est tout simplement une histoire d’amour, un fragment de vie, un bijoux. Et j’ai souris, pleuré, crié parce que c’est la vie, que Park est humain et que Eleanor l’est aussi énormément. J’ai adoré le fait qu’il se pose tout deux des questions, que Park est peur de l’apparence, que Eleanor ne soit pas un super héros, parce que oui, c’est la réalité. Comme dit John Green, ce livre rappelle ce que c’est que d’être fou amoureux d’une fille comme d’un livre. C’est tout simplement vrai et trop vrai pour ne pas être magnifique. Je ne sais pas comment vous dire que ce livre vaut la peine d’être lu, parce que je suis un peu chamboulée. Puis cette fin, cette fin est magnifique, tellement belle et vrai et…

Je vous encourage donc à lire ce livre qui est vraiment vraiment vraiment beau et tout ce que vous voulez. Un grand merci à l’auteure, car je suis heureuse qu’il reste encore des personnes comme ça, capable d’écrire quelque chose de beau tout en reflétant la réalité.

Merci de m’avoir lu,

Clara

Irrésistible alchimie

La frontière est mince entre l’amour et la haine.

irrésistible alchimie

Auteur : Simone Elkeles.

Éditions : Le livre de poche.

Genre : jeunesse, romance.

Nombre de pages : 411.

Synopsis :

Brittany est l’image même de la jeune fille parfaite. Belle, blonde et intelligente, elle vient d’une famille aisée et sort avec le capitaine de l’équipe de football. Elle sait bien maîtriser ses émotions, mais elle cache une douloureuse fêlure : elle s’oppose à ses parents qui veulent placer dans une institution, sa sœur aînée, gravement handicapée. Alex Fuentes est d’origine mexicaine, il est bien sûr séduisant en diable, mais c’est le bad boy du lycée. Il fait partie d’un gang impliqué dans des trafics de drogues, comme son père, qui en est mort. En dernière année au lycée Fairfield, Brittany et Alex sont obligés de travailler en binôme leur cours de chimie. Alors que tout les oppose, leur attirance est immédiate. Et leur amour sera contrarié par des événements brutaux qui ne cesseront de s’amonceler sur eux. Membre d’une bande armée qui sème la terreur, Alex est malgré lui rattrapé par les exigences du chef du gang. Et Brittany, malgré ses efforts passionnés pour le sortir de là, ne parviendra pas à le protéger.

Mon avis :

On m’avait dit énormément de bien de ce roman, que ce soit mes amis, certains membres de ma famille et j’ai été déçu. Ce livre est bien, je ne dis pas le contraire mais il est beeeaauuucoup trop romance cul-cul pour moi. Comme à chaque fois, c’est le bad-boy qui tombe amoureux de la fille parfaite avec une fin toujours identique, rien de nouveau sous le soleil donc, c’est du vu, du vu et du revu. Après je suis d’accord avec certains pour dire que l’histoire des gangs, le handicap de la soeur de Britanny font que ce livre a un petit plus, mais rien de bien folichon non plus. On retombe toujours dans de la romance, dans de grandes déclarations et on sait très bien que ce n’est pas la vrai vie. Alors oui, bien sûr que l’amour existe encore de nos jours, mais pas comme ça, je suis désolée. À chaque fois, sans rigoler, le garçon fait n’importe quoi de sa vie mais sa reste quelqu’un de super intelligent, avec un bon fond et compagnie. Non, non je ne suis pas d’accord,  de nos jours, les garçons comme ça sont des cons, point à la ligne. Alors les grandes déclaration, tu es la femme de ma vie et tout ça, moi ça me fait rire plus que ça ne me fait envie. Ce fût donc une assez bonne lecture mais en aucun cas un coup de coeur, c’est détente, c’est sympa mais voilà, sans plus.

Merci de m’avoir lu,

Clara.

Perdue et retrouvée

C’est un mensonge. Tout compte. Chaque petit bout de l’histoire. Mais nous ne pouvons pas changer le passé. Je me surprends à formuler en silence le vœu d’être la meilleure sœur qui soit – d’agir le mieux possible pour rattraper les années perdues. C’est le moins que je puisse faire.


Perdue et retrouvée

Auteur : Cat Clarke.

Éditions : Robert Laffont.

Genre : contemporaine.

Nombre de pages : 407.

Synopsis :

PERDUE

Quand Laurel Logan, 6 ans, a été kidnappée, seule sa petite sœur en a été témoin. Toute l’enfance de Faith a été façonnée par la disparition de Laurel : de la séparation de ses parents à la présence constante des médias, en passant par celle de ces soi-disant amis qui ne veulent que lui parler de sa sœur.

RETROUVÉE

Treize ans plus tard, une jeune femme est retrouvée dans le jardin de l’ancienne maison des Logan, totalement déboussolée et serrant dans ses bras l’ours en peluche avec lequel Laurel a disparu.
Laurel est enfin de retour chez elle, saine et sauve. Faith avait toujours rêvé de revoir sa sœur, sans oser vraiment croire que cela arriverait. Mais une série troublante d’événements isole Faith et la pousse à la paranoïa : ce que l’on a perdu peut-il réellement être retrouvé ?

Mon avis :

Il y a beaucoup de choses à dire sur ce livre, beaucoup de choses à dire sur l’auteur, alors je commence sans plus tarder. Ce livre je l’ai bouffé, dévoré ou tout ce que vous voulez qui indique que je l’ai lu rapidement, sans m’arrêter (jusqu’à plus de deux heures du matin…). Cat Clarke est une magicienne, sans rire, dans tout les livres que je l’ai lu d’elle (Confusion, A kiss in the dark…) elle arrive à faire monter la pression en crescendo jusqu’à ce que l’on se dise : ‘Mais purée, c’est quand que ça pète ?’. Perdue et retrouvée n’a pas échappé à la règle, je l’ai adoré. Même si la fin était un peu prévisible, le roman ne perd rien de son charme car c’est aussi agréable de découvrir que ses doutes étaient réels. A part ça, le personnage de Faith est incroyable, elle est profondément humaine et ça fait du bien. Oui elle ment, oui elle se pose des questions, oui elle est troublée parce que c’est une personne normale qui n’était pas préparée à ça. Laurel quand à elle est très angoissante, très mystérieuse, ce qui je conçois, est tout à fait normal. Perdue et retrouvée sera donc pour moi une très belle découverte que je vous encourage à lire, surtout en cette période de novembre, où le temps se prête à une lecture un petit peu angoissante comme celle-ci.

En conclusion je dirais donc qu’encore une fois, Cat Clarke a su me faire entrer dans son histoire et me laisser haletante à la fin du roman. Une très belle découverte comme à chaque fois.

Merci de m’avoir lu,

Clara